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VISAGE DU DRUIDISME

 

ESQUISSE CHRONOLOGIQUE PREHISTORIQUE ET PROTOHISTORIQUE

 

DATATIONS

PRINCIPAUX FAITS

GEOLOGIE, ARCHEOLOGIE, DIVERS

26000 (+ ou —)

 

Dislocation partielle, Lémurie et Atlantide. Chutes météoriques.

Effondrement   du   Continent   Pacifique   (race Jaune).

Entre        26000 et             24000

La race Blanche occupe déjà l'Hyperborée (régions arctiques).

Civilisation Blanche locale du bois, de l'os et de la corne.

Entre       24000

et            18000

Développement de la race Blanche isolée des autres.

La Lémurie s'effondre (18000?). Première gla­ciation (Giintz).

Entre         16000 et              15000

Quelques clans hyperboréens sur le « bouclier » irlando-breton.

Deuxième glaciation (Mindel).

Vers         15000

Tribus blanches clairsemées au nord-ouest de la future Europe.

« Chute du ciel ». Pluie de bolides (Plouma-nac'h, Atlantique).

Entre          10000 et              9000

Une fraction des Blancs s'accroche à son habitat arctique. Le reste nomadise en diverses direc­tions, surtout Gaule.

Troisième glaciation, puis troisième inter-gla-ciaire  (Riss-Wurm).   Faune  chaude.   Chelleen (industrie lithique Blanche).

Entre          9000 et               8000

Premiers accrochages entre Blancs et hommes d'autres races.

Equinoxe vernal dans le Lion.

Vers          8000

Les Noirs détournent le Nil. Début de la traite des Blancs.

Conflit africain entre Noirs et colons atlantes (Rouges).

7300

« Naissance de la Lune » en tant satellite ter­restre.

Equinoxe  vernal  en Cancer.  Déluge  atlante. Acheuleea Quatrième glaciation (Wûrm).

Entre         7000 et               6500

Exode général des Blancs. En Afrique toujours soudée à l'Europe esclaves Blancs, futurs Li­byens.

Solutréen (influence Rouge). Aurigancien (in­fluence Noire). Faune et climat du Renne.

Vers           6500

Conflits raciaux, mais emprunts techniques. Pre­miers Mégalithes. Les Atlanto-Egéens conquiè­rent l'Egypte.

Equinoxe en Gémeaux, apogée de l'âge du Renne. Industries précédentes, puis Campignien.

Vers           6000

Mégalithes de taille médiocre. Début du schisme des Druidesses.

 

Vers           5500

Druidisme proprement dit. Exode de Ram en Inde et des Présumériens vers l'Asie-Mineure. Technique égéenne prépondérante au sud-est de l'Europe.

Début de la pierre polie, Robenhausien. Les Egéens retrouvent le bronze atlante et en gar­dent la formule jalousement secrète

Vers           5000

Les Libyens envahissent le Delta.

 

Entre         5000 et               4000

Première dialectisation de l'Indo-Européen (groupes de Kentom et de Satem). Rédaction des Hymnes védiques. Orion à l'équinoxe vernal. Vers 4200, reconquête du Delta par les Egéens de Nar Mer : Egypte orthodoxe. Vers 4000 on sculpte Sphinx de Gizeh.

Retrait définitif des glaces. Bronze cryptique. Cuivre sumérien ; après le Diluvium du Pro­che-Orient (4500). Les Sumériens, flanqués d'Akkadiens, s'organisent. Vers 4000 : équinoxe vernal dans le Taureau.

Entre         4000 et               3500

Les Celtes domestiquent le cheval. Première cavalerie à chars.

 

3300

Carnac, Ombilic des Gaules. Grands méga­lithes. Fondation de Troie.

Le Jutland s'exonde lentement. Libyens en Bae-tique.

3300

Schisme d'Irshu ou ère de Nemrod.

 

3000/2800

La révolte des Kshattryas ouvre l'Inde aux schismatiques. L'Agarttha orthodoxe. Pléiades à l'équinoxe vernal.

Les Libyens fondent Tartessos. Cuivre en Crète Minoen anc. I). Débuts « officiels » du bronze égéen. Rupture du socle irlando-breton. Afri­que et Europe séparées

2730/2700

Fondation de Tyr par les Phéniciens (Akka­diens, mêlés de Rouges et de Noirs).

 

Vers           2600

Travail du fer non météorique en Mésopotamie (poignard de Tell-Asmer).

Formation de la Manche et du Canal d'Irlande.

2500/2300

Troie II. Invasion mongole, gens de la Poterie à cordelette, en Jutland. Invasion ibère en Irlande (fils de Mile).

Bronze en Crète. Minoen ancien III. Déluge Tyrrhénien (Ogygès). Amorce de l'Adriatique. Tours rondes d'Irlande.

Vers           2200

Les Guti touraniens envahissent la Babylonie.

Phéniciens encore en Egéide et au Negeb.

2000/1900

Apogée de la Thalassocratie égéenne. Les Achéens en Grèce.

Bronze I Celtique. Creusement du golfe du Morbihan.

1850/1800

Hamurabi, Abraham, Melki-Tsedeq. Lamaïsme schismatique au Tibet. L'Ombilic des Gaules transféré un peu au nord d'Avaricum. Refonte du calendrier gaulois. Stonehenge sanctuaire panceltique.

Engloutissement de la majeure partie de l'Egéide, réduite à des archipels et à quelques côtes (Deukalion). L'Adriatique offre son aspect actuel. Equinoxe vernal en Bélier.

1700 environ

Invasion des Hiqsos en Egypte.

 

1700 1600

 

Bronze II Celtique.

1500/1400

Race Partholon en Irlande. Les Scythes, Irano-Touraniens, refoulent les Cimmeriens vers l'ouest. Ombriens en Italie.

Moïse.

1400/1350

 

Orphée.

1200/1100

Guerre de Troie.

 

1000/900

Salomon et Hiram, roi de Tyr, puis schisme des dix tribus, première Diaspora. Tuata de Danann en Irlande ; Silures sémites en Angleterre. Le premier Zoroastre.

Ruée touranienne en Europe occidentale ; ces Mongols apportent une technique du fer d'où sortira celle de Hallstadt (Fer 1).

Vers      800/750

Démêlés des Vanir (du Lac de Van) scythiques, avec les Ases : alliances et conflits. Repli des Haedui germaniques sur la Gaule.

 

Circa           750

Fondation de Rome et de Carthage

 

Vers            600

Fondation de Marseille. Influence hellénique sur la Gaule.

 

Vers             350

Le premier Odin. Les Celtes danubiens commencent à refluer sur la Gaule

 

 

 

Le caractère approximatif de ces datations, surtout des plus anciennes, est ici souligné. Je sais d'excellents ouvrages de préhistoire et d'archéologie où industries et techniques sont classifiées, subdivisées et magistralement décrites, mais où les uns rougiraient de proposer la moindre datation tandis que les autres jonglent quelque peu avec les millions et les centaines de milliers d'années. De telles datations sont à l'abri de toute discussion, évidemment. Je répète, vox in deserto, que la Terre est bien plus jeune que certaines de ses composantes, je devrais dire que la plupart d'entre elles. J'y ai fait allusion au début de ce travail, et n'ai pas tout dit, tant s'en faut ! J'ai donc affronté la difficulté (d'aucuns diront « le ridicule ») d'articuler les données traditionnelles, la géologie, les repères astronomiques, etc. dans un ensemble, relativement cohérent (à mes yeux) sans me croire à l'abri d'involontaires erreurs. La critique en sera aussi aisée qu'en fut malaisée l'élaboration !

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