XXIX. - LA PITIÉ

     Beaucoup de personnes confondent la pitié avez la Bonté, alors qu'en vérité ces deux « choses » sont bien différentes.

     La pitié c'est la douleur humaine qui frappe à la porte de notre coeur : si celui-ci y répond avec mansuétude, délicatesse et comme fraternellement, alors il y a émission de bonté, dans le cas contraire, il n'y a rien.

     Ce que l'on nomme le « premier » bon mouvement n'est autre que le coup bien frappé par la nécessité extérieure ; nous n'y sommes pour rien, pas plus que dans la passion qui frappe à la porte de notre coeur (inférieur).

     La bonté est donc la condescendance pour autrui, c'est la participation à ses douleurs, et ceci n'a pas lieu sans luttes contre notre égoïsme.
 

XXX. - LA VOIE

     L'Homme doit atteindre le néant du moi et suivre le Christ pour être baptisé du feu de l'Esprit, afin de recouvrer sa véritable personnalité. Avec l'aide de l'Esprit-Saint il devra franchir la sphère des abîmes et regagner enfin la place qui lui est assignée. La Femme doit aussi arriver au néant de son moi et suivre l'Homme, son époux, pour être baptisée du feu de l'Amour, afin de recouvrer sa vraie personnalité ; lorsqu'avec l'aide de l'amour elle aura franchi la sphère du Serpent, elle sera alors réintégrée en son lieu ou état.

     L'Ami guide nos pas : et vous, voyageurs, qui voulez retourner au pays de la Liberté, de la Vie, de la Vérité, ne murmurez pas trop si vos pieds saignent, si vos coeurs se déchirent et si votre raison semble s'égarer le long de ce chemin ténébreux. Cette voie est néanmoins éclairée par les rayons divins, Lumière-Amour, que vous devez voiler aux yeux des habitants de ces abîmes dans la crainte qu'opposant leurs mirages, ils ne vous détournent de votre route (Voyez l'Ermite avec sa lanterne).

     La renonciation est terrible ! il semble que la folie guette le pauvre pèlerin, car à cette heure il se produit un semblant de lacune, durant laquelle le ciel paraît si noir que Jean, l'apôtre, l'a comparé à un sac de poils.

     C'est le cri de Jésus sur la Croix, et c'est pour cette heure-là que je vous dis : « Priez, car alors vous ne le pourrez plus ».

XXXI. - L'ÉVOLUTION

     On peut répartir les hommes en quatre catégories ascendantes, avant la première phase de sagesse, et tout d'abord en commençant par le bas :

     l°- La brute proprement dite, l'homme qui ne cherche qu'à se sustenter, et qu'à assouvir ses appétits, ses instincts ; il peut être éduqué comme un animal savant et acquérir même une certaine apparence de savoir-vivre. S'il est cultivé, il se sert de ce qu'il a copié sur d'autres, pour mieux se satisfaire ! Non-cultivé, il reste une simple brute.

     2°- L'homme rusé, c'est-à-dire celui qui a su mettre à profit les événements dont il a été le témoin ou l'acteur, et s'éviter les ennuis tout en étant hors la société. Parmi ces derniers on rencontre les criminels, les voleurs, les exploiteurs de la faiblesse et de la douleur humaine : leur caractéristique est la dissimulation.

     3°- Les demi-instruits, ceux-ci « ne s'en laissent pas conter », ils sont à l'affût d'une bonne aubaine, se disant en leur for intérieur que l'occasion n'a qu'un cheveu et qu'il ne faut pas la laisser passer. Mais, bien qu'ils le contestent, leur idéal réside, comme chez les précédents, dans la satisfaction de leurs instincts, plus développés sans doute, mais qui n'en sont pas moins ceux de la bête humaine.

     4°- Au quatrième degré, nous rencontrons les flottants. De ceux-ci il ne faut rien attendre, car n'ayant point encore d'idéal réel, ils flottent au gré de leurs pensées tantôt bonnes, tantôt neutres, tantôt mauvaises. Ce sont les serviteurs du Hasard ou Destin : celui qui arrive chez eux au bon moment est le bienvenu, l'autre, fût-il leur meilleur ami, passe inaperçu, il n'est pas à l'heure !... Ils sont sans but précis, mais semblent par moment avoir des envolées d'idéal ; leur heure de Lumière approche, mais auparavant, sur leur route, que de douleurs ils sèment, qu'il leur faudra payer du sang même de leur pauvre coeur. Ils sont semblables à ces jeunes gens qui croient en tout et se sentent des aspirations gigantesques, pensant les réaliser facilement. Une fois à l'oeuvre ils renoncent bientôt à tout cela et souvent, hélas ! se repliant sur eux-mêmes, ils meurent avant d'avoir oeuvré.

     Les quatre caractères exposés plus haut sont simplement , les quatre phases évolutives par lesquelles passent ou ont passé les hommes.

     Après vient la naissance à l'Esprit. Alors l'être suit les mêmes phases d'évolution, mais avec la différence des contrastes. Il doit accomplir en sens inverse la même route, mais cette fois c'est la renonciation, c'est le Calvaire.

     C'est la voie étroite qui mène à la liberté.

*
* *

     Parmi les êtres à face humaine, il existe quatre grandes catégories :

     1°- Les guides ou involués divins qui aident les hommes de bonne volonté à gravir le calvaire ;

     2°- Les diables ou serviteurs naturels de l'Adversaire, qui attirent les hommes indécis dans la Vallée des larmes ou les poussent à la révolte en leur montrant les choses à rebours, et deviennent ensuite leurs bourreaux selon le cas ;

     3°- La race d'Adam qui s'avance vers le but de son évolution et à qui Dieu a promis la Rédemption par Notre-Seigneur Jésus-Christ. Parmi cette race il y deux classes d'êtres : les ouverts et les fermés, c'est-à-dire les rayonnants et les égoïstes.

     Les premiers souffrent beaucoup, en proportion de la bonté de leur coeur ouvert à toutes les douleurs de leurs frères. Ils sont errants, méconnus même des leurs, ils cherchent une pierre (lieu, état, religion, etc. ... ) pour s'y reposer ; à peine l'ont-ils trouvée qu'ils ne peuvent y rester, car les autres les harcèlent, les poussant ainsi malgré eux. Alors ils repartent, et peu à peu, s'avancent vers le maître qui les attend, toujours au Calvaire (coeur).

     Les fermés ou égoïstes, n'ont pas le même genre de souffrances, car ils sont comme repliés sur eux-mêmes, à l'image d'un foetus. Ils mettent toutes leurs joies, tout leur bonheur à se sustenter de la nature et paraissent ne vivre que dans ce but. Les uns ont des faces bestiales, armées de fortes mâchoires qui semblent toujours prêtes à dévorer ; d'autres ont des airs plus développés, ils ont appris à singer la vertu, à laquelle ils ne croient pas, et sous cette apparence, mènent une vie de monstres infernaux. Leurs joies étant faites de la douleur des autres, ce sont des vampires s'abreuvant de la sueur, des larmes et du sang de ceux qui leur semblent inférieurs, Ces derniers rugissent contre eux avec l'espoir pourtant de les pouvoir imiter un jour.

     Oh ! l'horrible vision que cette pauvre humanité se ruant à la curée de quelques victimes... Malheur aux vaincus ! ...

     4°- Enfin nous arrivons aux races éteintes, du moins à ce qu'il en reste, en attente de reprogression (quelqu'un viendra qui leur donnera le Baptême de l'Esprit). Ces êtres vivent séparés des autres hommes, ils ont leurs croyances, leurs idéals et ne se mêlent point à la race d'Adam. Si le commerce, les affaires en un mot, les nécessités de la vie les y contraignent ils vivent comme absents et se créent un but afin de supporter l'existence, ils sont dans l'expectative... Ils se mêlent tantôt aux uns, tantôt aux autres, mais sans convictions... ils semblent attendre.
 

XXXII. - L'ABÎME

     Les grandes batailles ! Celles du corps sont finies, l'heure est venue des grandes luttes spirituelles.

     L'Humanité arrive vers le « Précipice », et va essayer de le franchir ! C'est par là que descendit la race adamique quand elle involua dans les enfers..

     Après avoir tenté vainement de sortir de cet abîme pour remonter au Pays de la Vie, de le Lumière et de la Liberté, l'Homme s'était vu contraint de contourner les rochers de la Nature inférieure pour arriver au faîte ; mais ce qui s'oppose à cette marche ascensionnelle de l'Humanité, c'est d'abord ce terrible abîme si dangereux à passer, puis ce sont les fausses lueurs qui, dès les commencements avaient séduit Ève et Adam, et qui sont toujours là pénétrant les cerveaux de leurs douteuses clartés et les troublant par leurs vertiges.

     Femme ! prends garde à ces fausses lueurs, et ne les regarde plus, de crainte que ton cerveau réceptif cédant à nouveau à leur infernale influence, tu ne sois, une fois encore, entraînée dans les Bas-fonds

     Ferme tes yeux, tes oreilles et ton coeur aux gémissements aussi bien qu'à tout ce qui est sur ta route, ne te laisse distraire par aucune de ces fleurs de l'enfer, car toutes sont pour toi nocives et engendrent la Mort. Si les voix de l'abîme cherchent à t'apitoyer, attache-toi à ton compagnon, continue ton chemin et défie-toi de ton intelligence personnelle.

     Eurydice suit Orphée et remonte à la Vie, à la Lumière, à la Liberté.

     Et toi, ô homme, que la Sainte Patience, la Sainte Bonté et la Sainte Espérance t'accompagnent et fortifient ta foi. L'heure est terrible, prends garde que tes yeux ne se détournent jamais de ta compagne, soutiens-la, mais souviens-toi de ta faiblesse dans l'Éden ... ferme et bon tu dois être.
 

XXXIII. - LES MALADIES

     Il existe plusieurs sortes de maladies et plusieurs genres de malades.

     Tout d'abord, il y a les maladies d'aventure, plus ou moins graves selon les cas. Puis les maladies classiques qui vont de préférence à telle ou telle race, selon son karma.

     Ensuite, les maladies mortelles où toute intervention humaine échoue, car l'heure a sonné et l'on ne change pas « l'heure » (sauf exception extraordinaire). Pour être mortelle il n'est pas nécessaire qu'une maladie soit grave. Ce n'est donc pas la gravité de la maladie qui la rend mortelle, mais celui qui en est la proie.

     Il y a aussi les maladies dites « héréditaires ». Ce mot ne signifierait rien si nous n'expliquions ici la loi des attractions qui intervient en cette circonstance.

     L'union de l'homme et de la femme constitue une ambiance, laquelle est formée elle-même par les qualités, les défauts, les aspirations, les répulsions et enfin par la destinée de chacun de ces deux pôles. Si un être doit s'incarner, son âme spirituelle choisira une ambiance qui correspondra à la sienne, à sa destinée, à son poids ; et ce choix se fait bien souvent à l'insu de son entité physique. C'est pourquoi nous naissons dans telle planète, tel pays, tel lieu et telle famille.

     En ce qui concerne l'hérédité, vous comprendrez facilement que ce n'est pas parce que dans telle famille il y a eu des cancéreux, que les descendants soient fatalement prédestinés au cancer, vous concevrez que l'âme qui vient dans cette famille a déjà en elle, le germe de ce cancer et que pour qu'il éclose il lui faut une ambiance propice, étant donné que tout doit croître, même le parasite, qui n'arrive pas par hasard, mais bien parce que nous l'avons appelé, consciemment ou non.

     Le soleil se lève pour tous... mais à la fin du jour il ne reste vivant que ce qui peut supporter l'Amour. Tout ce qui vient de la haine et par la haine ne peut subsister en présence du Soleil éternel, pas plus que les ténèbres devant la Lumière.

     Donc quiconque se récrie, en accusant ses parents d'être la cause de ses malheurs, se trompe et blasphème, car c'est de lui-même que lui vient sa destinée, sa croix, son karma.
 

XXXIV. - LA FOI

     La Foi n'est pas un don ; c'est une récompense. C'est la Lumière du Père qui éclaire l'âme humaine.

     Ce qu'il y a de plus étrange, c'est l'inconscience de l'athée, du négateur ; il ne comprend pas qu'il nie Sa lumière en se montrant lui-même aveugle. Il se pare du manteau des ténèbres comme d'une pourpre royale, il étale ses misères, sa douleur et son désespoir, comme si c'était là l'unique vérité, le seul bonheur.

     Et, sur cette gamme nous pourrions à la suite du Dante, chanter le supplice des damnés, s'abreuvant de leurs propres douleurs : roue fatale tournant sur elle-même indéfiniment... jusqu'à ce qu'un choc terrible vienne délivrer de leur égoïsme ces malheureux négateurs, pour les faire participer à la Vie Universelle et enfin à l'Éternelle loi d'Amour, en laquelle les âmes se confondent pour mieux s'aider et se rendre heureuses mutuellement.

XXXV. - L'ÉDUCATION

     Les enfants n'ont plus de respect pour les parents; pourquoi?... car il y a un pourquoi à toutes choses.

     Si les parents respectaient leurs enfants, ils seraient respectés d'eux.

     Mais il y a l'égoïsme et l'orgueil : tels parents enrichis ne veulent plus d'artisans dans leur famille et pour cela ils choisissent une situation indépendante ou honorifique pour leur progéniture (que cette profession corresponde ou non aux aptitudes des enfants). Il en est de même pour les idées, les goûts, les moeurs et les mariages ; tout cela détruit l'harmonie, engendre l'aversion, éloigne les enfants de leurs parents qui ne les ont élevés que pour en jouir, et, c'est là la grave erreur qui provoque les désunions, empêche l'amour d'éclore sur la terre et le règne de Dieu d'arriver.
 

XXXVI. - ICI-BAS

     La vie est semblable à une comédie dans laquelle chaque être, du plus petit au plus grand, a un rôle à jouer. À lui de le bien jouer, et pour cela de s'entourer de tout ce qui lui est nécessaire à cet effet.

     L'homme dans la suite des temps doit jouer tous les rôles... car il faut qu'il arrive à la connaissance de tout, parce que ses destinées sont d'une grandeur incalculable, et qu'il est appelé à régner un jour, sur une création complète que lui a léguée son Père.

     Il faut donc qu'il s'applique à bien remplir tous les rôles qui lui sont dévolus, en n'importe quel temps et en toutes circonstances, afin que retrouvant un jour les créatures qui sont de son domaine et qui avec lui ont joué ces divers rôles, ces créatures elles-mêmes lui soient soumises et déjà habituées à se trouver en parfaite harmonie avec la Vérité.

     Sans quoi son royaume ne serait qu'une damnation.
 

XXXVII. - AU NÉOPHYTE

     Et maintenant, toi qui crois être arrivé au but, à l'endroit précis où se rencontrent la Vérité et l'Intelligence de toutes choses, pourquoi vois-je ton regard anxieux et comme voilé d'un nuage noir? pourquoi tes yeux cherchent-ils l'abîme éternel afin de t'y précipiter? 
     Patience, ô toi qui n'es encore que fils de la terre et qui veux redevenir fils de Dieu.

     Souviens-toi de l'exclamation cruciale, regarde à ta droite où se trouve l'Ange de l'Espérance, attache-toi à lui, pour qu'il te conduise au Maître, qui t'ouvrira la Porte en temps voulu. Car nul humain ne peut vaincre ce doute affreux qui garde l'entrée du Ciel éternel.
 

XXXVIII. - LE NÉANT

     Le néant est une zone neutre qui sépare le Temps de l'Éternité, le Transitoire du Définitif, le Cosmos du Ciel divin.

     C'est là où toujours se sont brisés les efforts des Titans qui ont voulu escalader le Ciel. Cette zone n'est peuplée que de reflets et c'est pourquoi elle apparaît comme une négation de toutes choses. Son chef est celui que nous nommons le Diable, le grand négateur de tout ce qui existe.

     Un être qui s'approcherait seul de ce plan, serait pris d'un tel vertige qu'il se jetterait n'importe où pour y échapper.

     Un seul a pu franchir cet état ou lieu, c'est le Christ. Il y a fait une trouée par laquelle Il nous invite à passer. Mais il faut pour cela une profonde humilité, afin que nul vestige d'orgueil humain ne puisse se refléter dans cette négation.
 

XXXIX. - L'ÉTERNEL

     Avant que toutes les créatures fussent créées la Vie existait ! Elle était Intelligente et Elle était Harmonisée. Et cette Triple Puissance qui est l'Auteur de notre première existence, c'est DIEU.

     En Lui, il y avait et il y a une Triple Essence, VIE, AMOUR, LUMIÈRE (Père, Fils, Esprit-Saint).

     Et ceci nous a été révélé par Lui-même, lors de la manifestation du Verbe sur nos plans. Il a pris à ce moment la forme humaine, elle renfermait l'Essence primordiale des premières créatures, qui furent faites à Son image. Et Il est venu les réveiller suivant une norme, pour leur donner la puissance sur une partie de la Création.

     Et ce Verbe qui se nomma JÉSUS était le Christ annoncé par Ses Serviteurs les prophètes. Et Il était Dieu et Il avait en LUI cette Triple Essence Divine qu'Il a apportée dans notre plan, afin que les Esprits-Âmes des humains puissent s'en nourrir pour revivre de la Puissance même du Père et régner avec Lui.

*
* *

     Chacun avait fait son nid, construit sa forteresse, son aire ou sa tour d'ivoire !

     Et voilà que la tempête infernale s'est déchaînée, entraînant tout sur son passage . fortunes, situations, rangs, noblesses, cloîtres, etc., etc.... afin que tous les hommes soient dans l'arène pour que le Maître puisse reconnaître ceux qui ont fondé leur espoir en Lui et ceux (adorateurs de la Bête) qui n'ont eu confiance que dans les possessions terrestres.
 

*
* *

     L'Ange de la Purification arrive ; il est même déjà à notre porte et va bientôt entrer afin de nettoyer nos coeurs de leurs passions, de leurs égoïsmes et les détacher de tout ce à quoi ils tiennent Ici-bas. Que ceux qui, volontairement, n'accepteront pas cette purification, prennent garde : leur coeur sera mis au pressoir pour être débarrassé de toutes impuretés.

     Gare aussi à ceux qui ont des idoles !

     Il y aura alors des pleurs et des grincements de dents.

     Ensuite, le Maître Lui-même viendra chercher Ses enfants.

************

ULTIMA VERBA

     Puissions-nous, Fidèles du Christ, dans la simplicité du recueillement, dans le silence extérieur et intérieur, entendre la Grande Voix de l'Éternel qui parle à Ses enfants, comprendre cette Voix toute de Sagesse, et faire de Sa Loi, la suprême régulatrice de notre vie... afin qu'éclairés par la Vraie Lumière d'En-Haut, nous ne nous laissions plus séduire par les charmes perfides d'En-Bas.

FIN  Décembre 1920