IMPORTANCE DES MYSTÈRES
« Notre Dame enseigne au Bienheureux Alain de la Roche que c'est une prière très utile, c'est un service qui lui est fort agréable, que de réciter cent cinquante salutations angéliques.
Il le lui est encore davantage et ceux-là feront encore beaucoup mieux, dit-elle, qui réciteront les salutations avec la méditation de la vie, de la passion et de la gloire de Jésus-Christ, car cette méditation est l'âme de ces oraisons. En effet, le Rosaire, sans la méditation des mystères sacrés de notre salut, ne serait presque qu'un corps sans âme, une excellente matière sans sa forme qui est la méditation et qui le distingue des autres dévotions. »
Saint Grignion de Montfort.
« En considérant sérieusement et dévotement les vertus de Jésus-Christ dans les quinze mystères de sa vie, les fidèles confrères du Rosaire deviennent semblables à ce divin Maître avec le secours de sa grâce et par l'intercession de la Sainte Vierge. »
Saint Grignion de Montfort.
« Saint Thomas enseigne que chaque mystère de la vie du Christ contient une vertu secrète qui se communique à ceux qui le méditent avec foi et avec amour. »
« Il en est du Rosaire comme des mystères de l'année liturgique, c'est la raison de la puissance extraordinaire de cette dévotion. »
R. P. Philippon O. P.
« Le Rosaire est un parfait résumé de la doctrine évangélique. »
Léon XIII.
« Le Rosaire n'est pas une simple récitation de quinze dizaines d'Ave Maria reliés par le Pater et le Gloria Patri. Il est principalement une prière intérieure, la contemplation des mystères, les souvenirs des trois grandes étapes parcourues par Celui qui est « la Voie, la Vérité, et la Vie ». Il a pour objet principal de mettre l'âme fidèle en contact avec l'Incarnation, avec le Sacrifice rédempteur, avec la vie céleste et la royauté spirituelle du Divin Ressuscité. La pratique du Saint Rosaire est donc, avant tout, un exercice de réflexion pieuse sur le grand mystère de salut de l'humanité accompli par notre divin Rédempteur, avec la coopération de Celle qui est la Mère de Jésus et notre Mère. »
Cardinal Mercier.
« Le Rosaire est une merveilleuse guirlande tressée de la salutation angélique et entremêlée de l'oraison dominicale, à laquelle se joint l'exercice religieux de la méditation des mystères. Elle est le genre de supplication le plus excellent et le plus fructueux pour l'obtention surtout de l'immortelle vie. »
« D'où cette très douce prière tira-t-elle une si grande et efficace vertu, si ce n'est des mystères mêmes du divin Rédempteur pieusement et religieusement contemplés et vénérés ».
Pie XI.
« On peut dire que, par le Rosaire, la Sainte Vierge nous enseigne à lire, à méditer et à réaliser l'Évangile, comme à ses fils agenouillés à ses pieds et qu'Elle forme avec une maternelle sollicitude. »
Lettre pastorale de S. E. le cardinal Patriarche de Lisbonne - 1954.
« Il est à peine possible d'imaginer de quelle joie suave et toujours renouvelée, les mystères du rosaire inondent la sainte âme de Marie et quels sentiments de persévérance et de bienfaisance maternelle ils réveillent. »
Léon XIII, Enc. 1894.
« Le Rosaire est une contemplation unie à la prière vocale. »
Saint Grignion de Montfort.
« Il faut aller de la perpétuelle contemplation de la bonté de Dieu à l'amour, et de l'amour, à la pratique de toutes les vertus. »
Bx Père Eymard.
« Le Rosaire offre un moyen pratique et facile de faire pénétrer et demeurer dans les esprits les dogmes principaux de la foi chrétienne « et » un excellent moyen de confesser la foi. »
Léon XIII (Enc. Magnac Dei Matris - 1892).
« Dans le Rosaire, l'objet de ces contemplations est l'abrégé de toute la religion chrétienne. »
« Le Rosaire est également un stimulant et un éperon dans la mise en pratique des vertus évangéliques, qu'il insinue et qu'il cultive dans nos âmes. Il alimente la Foi, ravive l'Espérance et la Charité. »
Pie XI (Enc. sur le Rosaire - 1937).
« À méditer les mystères l'esprit du chrétien puise insensiblement la vertu qu'ils renferment et s'en pénètre. »
Léon XIII - 1901.
« Que cette dévotion serve de stimulant à ceux qui se dévouent à l'Action Catholique, pour les presser dans leur apostolat avec plus de ferveur et de zèle, »
Pie XI (Enc. sur le Rosaire - 1937).
« Comme si les faits se passaient sous nos yeux, nous voyons se dérouler ces événements dont la suite a fait à la fois de Marie la Mère de Dieu et notre Mère... »
Il s'ensuit forcément que l'âme s'enflamme envers elle d'amour reconnaissant, qu'elle regarde tout ce qui est périssable comme indigne d'elle, et s'efforce de se rendre digne d'une telle Mère et de tant de bienfaits par l'énergie de ses résolutions. »
Léon XIII - 1895.
« Tandis que l'on considère les mystères de notre Rédempteur en murmurant les « Ave », le cur s'enflamme d'amour et de reconnaissance au spectacle de ces preuves de charité que Dieu nous a données. »
Léon XIII - 1891.
« Voulez-vous être délivré de vos mauvaises habitudes, revêtir la noble parure des vertus, remporter d'éclatants triomphes sur les ennemis de votre salut, mourir en paix et régner au ciel ? Appliquez-vous à repasser sans cesse les mystères de la vie et de la Passion de N.-S. Jésus-Christ. »
Saint Albert le Grand, Docteur de l'Église.
« On mérite davantage, par une seule méditation bien faite sur la Passion, qu'en jeûnant toute une année le vendredi au pain et à l'eau, qu'en se donnant la discipline jusqu'au sang, qu'en récitant tout le Psautier, qu'en faisant à pied le pèlerinage de Saint Jacques. »
Saint Albert le Grand.
« Il y a autre avantage, non moins grand, que l'Église attend du Rosaire pour ses fils : c'est qu'ils conforment plus exactement leur vie et leur conduite à la règle et aux préceptes de la Sainte Foi. »
Léon XII 7-9-1892.
« Je ne trouve rien de plus puissant pour attirer le règne de Dieu, la Sagesse éternelle, au dedans de nous, que de joindre la prière vocale à l'oraison mentale, en récitant le Saint Rosaire et en méditant les quinze mystères qu'il renferme. »
Saint Grignion de Montfort.
« Le Rosaire inonde l'âme de ceux qui le récitent d'une Sainte joie qui se renouvelle sans cesse. »
Léon XIII.