ANOMÉENS

Précédente Accueil Remonter Suivante

Accueil
Remonter
PREMIER DISCOURS
ANOMÉENS
STAGIRE
ANATHÈME
ÉTRENNES
LAZARE
STATUES
CATÉCHÈSES
DÉMONS
NATIVITÉ
BAPTÊME
JUDAS I
JUDAS II
CŒMETERIUM
BON LARRON I
BON LARRON II
RÉSURRECTION I
RÉSURRECTION II
ASCENSION
PENTECOTE I
PENTECOTE II
PÉNITENCE
ÉLOGE
MACCHABÉES
BERNICE
MARTYRS I
PLAIRE
MARTYRS II
JULIEN
BARLAAM
DROSIS
ÉGYPTIENS
PHOCAS
MARTYRS III
TREMB. DE TERRE
JUDAS III
MÉLÉCE
LUCIEN
BABYLAS I
BABYLAS II
JUVENTIN
PÉLAGIE I
PÉLAGIE II
IGNACE
EUSTATHE
ROMAIN I
ROMAIN II

HOMÉLIES CONTRE LES ANOMÉENS.

Saint Jean Chrysostome Oeuvres Complètes, traduites sous la direction de M. Jeannin, Bar-le-Duc, L. Guérin & Cie éditeurs, 1864, Tome II, p. 195-278.

(Voir t. I, chap. XI, p. 115.)

PREMIÈRE HOMÉLIE. DE L'INCOMPRÉHENSIBILITÉ DE LA NATURE DE DIEU.

ANALYSE. Eloge de Flavien, sa charité. — Sens de ces mots : la science sera abolie. — Réfutation des Anoméens. — Le charitable orateur veut relever et non abattre ces adversaires. — Dieu est incompréhensible, non-seulement dans son essence, mais dans sa providence ; non-seulement dans sa providence en tant qu'elle gouverne la création entière, mais encore en tant qu'on la considère comme réglant les destinées d'un seul peuple, du peuple juif par exemple. — Exhortation.

DEUXIÈME HOMÉLIE. DE L'INCOMPRÉHENSIBILITÉ DE LA NATURE DE DIEU.

ANALYSE. En traitant des choses divines, c'est la foi et non la raison qui doit nous guider. — Les Anoméens prétendent connaître Dieu comme il se connaît lui-même. — C'est outrager Dieu que de scruter son essence avec trop de curiosité. — Il faut être modéré dans les discussions avec les hérétiques.
Plusieurs jours auparavant, saint Chrysostome avait prêché contre les Anoméens, ensuite contre les Juifs. — Il avait cessé à cause de la présence des évêques et de la solennité des martyrs. — Maintenant il reprend la parole contre les Anoméens sur la nature incompréhensible de Dieu.

TROISIÈME HOMÉLIE. DE L'INCOMPRÉHENSIBILITÉ DE LA NATURE DE DIEU.

ANALYSE. Louer Dieu est plus utile à l'homme qu'à Dieu — Dieu est incompréhensible aux anges. — L'homme ne peut pas même pénétrer la substance de l'ange. — Les vertus d'en-haut ne peuvent pas comprendre Dieu, même quand il s'abaisse. — Reproches aux habitants d'Antioche, parce qu'ils quittaient l'église tout après le sermon. — Efficacité de la prière publique.

QUATRIÈME HOMÉLIE. DE L'INCOMPRÉHENSIBILITÉ DE LA NATURE DE DIEU.

ANALYSE. Récapitulation des discours précédents. — Les anges ne connurent plusieurs mystères qu'avec nous et par nous. — Ils ne connaissent pas l'essence divine. — Félicitations aux habitants d'Antioche pour leur docilité à mettre en pratique les avis donnés. — Nouveaux avis au sujet des filous qui exerçaient leur métier dans l'église.

CINQUIÈME HOMÉLIE. DE L'INCOMPRÉHENSIBILITÉ DE LA NATURE DE DIEU.

ANALYSE. Le Fils et le Saint-Esprit connaissent parfaitement le Père. — Les mots Dieu et Seigneur sont communs au père et au Fils. — Prudence de saint Paul dans ses enseignements. — Non-seulement la substance des anges, mais aussi celle de notre âme est incompréhensible pour nous. — Les Anoméens objectent : « Vous adorez donc ce que vous ignorez ! » — Réponse à cette objection. — Puissance de la prière. — L'humilité produit la confiance.

SIXIÈME HOMÉLIE. SUR SAINT PHILOGONE.

ANALYSE. Combien la vie future l'emporte sur la vie présente. — Saint Philogone fréquente d'abord le barreau. — Choisi pour évêque, il pratique toute sorte de vertus. — Exhortation pour la fête de Noël qui approchait. — Une vraie pénitence quoique courte peut purifier la conscience. — Manière de faire pénitence.

SEPTIÈME HOMÉLIE. LE FILS EST CONSUBSTANTIEL AU PÈRE.

ANALYSE. Nécessité de prêter une oreille attentive à la parole de Dieu. — Le Fils est consubstantiel au Père. — Les expressions qui dans l'Écriture semblent rabaisser le Fils, trouvent leur explication dans l'Incarnation. — Autres motifs du langage de l'Écriture. — Il y a deux volontés en Jésus-Christ. — Exhortation à la prière.

HUITIÈME HOMÉLIE. JUGEMENT ET AUMONE. — DEMANDE DE LA MÈRE DES FILS DE ZÉBÉDÉE.

ANALYSE. Réponse à une objection des hérétiques. — Le Fils a le même pouvoir que le Père. — L'aumône se mesure, non par la grandeur du don, mais par la pureté d'intention. — Louange de saint Paul dont l'orateur cite les paroles. — En quel sens Jésus-Christ a dit : Ce n'est pas à moi de donner. — C'est à celui qui combat, de mériter la récompense.

NEUVIÈME HOMÉLIE. SUR LAZARE MORT DEPUIS QUATRE JOURS.

ANALYSE. Jésus-Christ n'ignorait pas où était Lazare. — IL ne faut pas croire trop facilement. — Pourquoi Jésus-Christ prie avant de ressusciter Lazare. — Ce n'est pas par nécessité , mais à cause du peuple qui était présent , et pour répondre à la demande de Marthe.

DIXIÈME HOMÉLIE. DES PRIÈRES DE JÉSUS-CHRIST.

ANALYSE. Exorde; différence entre les dettes d'argent et les dettes spirituelles. — Jésus-Christ est consubstantiel au Père. — S'il s'abaisse c'est pour se proportionner à notre faiblesse, pour nous instruire d'exemple aussi bien que de paroles. — Il a la même puissance que le Père ; il est créateur et législateur comme le Père. — Preuve tirée de la guérison de l'aveugle-né. — Comment la Loi est imparfaite. — Le Fils est égal au Père ; preuves tirées de l'Ecriture. — II faut déposer toutes les inimitiés. — Exhortation à se réconcilier avec ses ennemis.

ONZIÈME HOMÉLIE. DE L'INCOMPRÉHENSIBILITÉ DE LA NATURE DIVINE.

ANALYSE. Quand il s'agit des vérités de la foi , il faut s'appuyer principalement sur l'Écriture sainte. — Divinité de Jésus-Christ prouvée par le premier chapitre de la Genèse. — Harmonie de l'Ancien et du Nouveau Testament. — Le Chrétien doit assister aux comblées des fidèles et y conduire ses enfants. — L'assistance à ces réunions dans les églises procure un double avantage.

DOUZIÈME HOMÉLIE. SUR LE PARALYTIQUE ET SUR CE TEXTE : MON PÈRE AGIT JUSQU'A PRÉSENT ET J'AGIS AUSSI. JEAN, V, 17.

Cette Homélie et les dix qui précédent ont été traduites par M. l'abbé L. A***, professeur au collège de Saint-Dizier.
 
ANALYSE. Le prédicateur comparé au laboureur. — Pourquoi Jésus-Christ se montre aux Juifs les jours de fête. — Guérison du paralytique. — Pourquoi Jésus-Christ interroge le malade. — Eloge du paralytique. — Pourquoi Jésus-Christ lui ordonne d'emporter son lit. — Jésus-Christ est égal au Père en puissance. — Exhortation a assister aux assemblées de l'Eglise.

Haut du document

Précédente Accueil Remonter Suivante