LET. CCCXC-CCCXCI
Précédente ] Accueil ] Remonter ] Suivante ]

Accueil
Remonter
LET. I
LET. II
LET.  III
LET. IV
LET. V
LET. VI
LET. VII
LET. VIII
LET. IX-X
LET. XI-XII
LET. XIII-XIX
LET. XX-XXI
LET. XXII
LET. XXIII-XXXII
LET. XXXIII-XLI
LET.  XLII-XLVII
LET.  XLVIII-LIV
LET. LV-LVII
LET. LVIII-LXIV
LET. LXV-LXVIII
LET. LXIX-LXXIV
LET. LXXV-LXXVII
LET. LXXVIII
LET. LXXIX-LXXX
LET. LXXXI-LXXXIV
LET. LXXXV-LXXXVI
LET. LXXXVII
LET. LXXXVIII-LXXXIX
LET. XC-XCII
LET. XCIII-XCV
LET. XCVI-XCIX
LET. C-CII
LET. CIII-CVIII
LET. CIX-CXIV
LET. CXV-CXXI
LET. CXXII-CXXV
LET. CXXVI-CXXVIII
LET. CXXIX-CXXXI
LET. CXXXII-CXXXVIII
LET. CXXXIX-CXLI
LET. CXLII-CXLVI
LET. CXLVII-CL
LET. CLI-CLVII
LET. CLVIII-CLXIII
LET. CLXIV-CLXIX
LET. CLXX-CLXXVII
LET. CLXXVIII-CLXXX
LET. CLXXXI-CLXXXVI
LET. CLXXXVII-CXCIV
LET. CXCV-CCVI
LET. CCVII-CCIX
LET. CCX-CCXVIII
LET. CCXIX
LET. CCXX-CCXXI
LET. CCXXII-CCXXIV
LET. CCXXV-CCXXVII
LET. CCXXVIII-CCXXIX
LET. CCXXX-CCXXXVI
LET. CCXXXVII-CCXLI
LET. CCXLII-CCXLIV
LET. CCXLIV-CCXLVIII
LET. CCL-CCLIII
LET. CCLIV-CCLV
LET. CCLVI-CCLX
LET. CCLXI-CCLXX
LET. CCLXXI
LET. CCLXXII-CCLXXIII
LET. CCLXXIV-CCLXXVIII
LET. CCLXXIX-CCLXXXII
LET. CCLXXXIII-CCLXXXVIII
LET. CCLXXXIX-CCXCVI
LET. CCXCVII-CCCI
LET. CCCII-CCCX
LET. CCCXI-CCCXX
LET. CCCXXI-CCCXXIX
LET. CCCXXX-CCCXXXVIII
LET. CCCXXXIX-CCCXLV
LET. CCCXLVI-CCCLIX
LET. CCCLX-CCCLXIII
COMMENDES
LET. CCCLXIV-CCCLXVI
LET. CCCLXVII-CCCLXXI
LET. CCCLXXII-CCCLXXXI
LET. CCCLXXXII-CCCLXXXV
LET. CCCLXXXVI-CCCLXXXIX
LET. CCCXC-CCCXCI
LET. CCCXCII-CCCXCVIII
LET. CCCXCIX-CDIV
LET. CDV-CDX
LET. CDXI-CDXVII
LET. CDXVIII-CDXX
LET. CDXXI-CDXXXI
LET. CDXXXII- CDXXXVIII
LET. CDXXXIX-CDXLI
LET. CDXLII-CDXLIV

LETTRE CCCXC. A ESKILE, ARCHEVÊQUE DE LUNDEN (a) ET LÉGAT DU SAINT SIÈGE EN DACIE ET EN SUÈDE.

NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON

LETTRE CCCXCI. A L'ABBESSE DE FAVERNAY (b).

NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON

LETTRE CCCXC. A ESKILE, ARCHEVÊQUE DE LUNDEN (a) ET LÉGAT DU SAINT SIÈGE EN DACIE ET EN SUÈDE.

                                                                                                        

Saint Bernard se montre humblement reconnaissant de son amitié et lui offre la sienne.

 

A son bien-aimé père et seigneur Eskile, par la grâce de Dieu, archevêque de Lunden, le frère Bernard abbé de Clairvaux, salut en Celui qui est notre vrai salut.

 

1. L'affection toute particulière que je ressens pour vous et que vous payez de retour, je le sais, fait que j'éprouve toujours le plus grand bonheur à recevoir une de vos lettres où se peignent si bien les sentiments de votre âme; je ne puis y lire le récit de toutes vos tribulations, sans les partager avec vous et les ressentir comme si c'étaient les miennes; car il m'est impossible de vous savoir dans la peine sans y compatir, et je ne puis voir avec le calme de l'indifférence toutes les épreuves et les anxiétés de votre âme. Tout ce qui vous touche et vous blesse a son contre-coup dans mon coeur, et vos persécuteurs me persécutent avec vous; c'est ainsi, pour moi, que des amis absents doivent acquitter la dette de l'amitié, dette dont je me crois redevable à votre égard comme vous l'êtes au mien. Je vais peut-être un peu loin en m'exprimant ainsi, mais je ne dis rien que de parfaitement vrai; d'ailleurs c'est Votre Grandeur qui me donne cette présomption, par les bontés dont elle m'honore. Sans cela aurais-je jamais osé parler ainsi, et pourrais-je me flatter, moi humble et pauvre religieux, de l'amitié d'un si grand prélat? Mais si je ne puis vous payer entièrement de retour, l'Eternel lui-même sera ma caution; vous ne perdrez rien, il vous payera pour moi, lui qui est le principe et la fin de l'affection que vous me témoignez. Je bénis votre ange de vous avoir suggéré la pensée de m'aimer, et Dieu de vous y avoir fait donner suite. Je suis tout fier d'être au rang de vos amis de choix et de prédilection, et j'en ai reçu l'assurance avec le plus grand bonheur de la bouche de mon très-cher frère, votre fils Guillaume, et de celle de votre messager, en même-temps que j'enlisais le témoignage dans votre lettre, et que je l'apprenais par tous ceux qui peuvent venir de chez vous ici ou aller de notre pays dans le vôtre.

 

a C'était la ville métropolitaine de Danemark, dont Eskile était archevêque. Ce prélat reçut plusieurs lettres de Pierre de Celles, qui, à sa prière, envoya des Chartreux en Danemark, et qui le loue, livre I, lettre vingt-troisième, de ce que, par ses soins l'ordre de Clairvaux ou de Cîteaux, et celui de Prémontré poussaient dans ces contrées, non-seulement en herbe, mais en épis, et voyaient lé nombre de leurs religieux s'augmenter tous tes jours. »

 

2. Que ne puis-je vous dire tout cela de vive vois plutôt due de vous l'écrire? La parole rendrait mieux ma pensée qu'une lettre, le langage parlé est bien plus explicite que le langage écrit; dans l'homme qui parle, l'éloquence du regard s'ajoute à celle du discours et la rend plus persuasive ; le visage traduit les sentiments de l'âme plus énergiquement que les doigts ne sauraient les peindre sur le papier. Mais puisqu'il faut que je sois éloigné de vous, je supplée à ce que je ne puis faire de vive voix par les lettres qui sont le langage des absents. J'ai reçu votre messager avec bien du plaisir et je me suis empressé d'appuyer votre affaire de tout le crédit que je puis avoir auprès du Pape.

Pour ce qui regarde le secret dessein (a) que votre coeur nourrit avec amour; Guillaume, votre dévoué serviteur en Jésus-Christ, vous dira ce que j'en pense; je le lui ai dit, écoutez-le comme si je vous parlais par sa bouche. Hélas! me voici obligé de vous quitter; on m'enlève, on m'arrache à ce cher entretien, je ne puis le prolonger davantage. Il ne se peut voir un plus mauvais jour que celui-ci pour moi, une foule de visiteurs me réclament et me font interrompre brusquement plutôt que terminer ma lettre. Mais s'ils me forcent de vous écrire moins longuement que je ne le voudrais, ils ne sauraient diminuer mon affection pour vous; ils m'empêchent de vous l'exprimer à loisir, mais ils ne peuvent faire que je ne la sente très-vivement. Je suis libre de mon coeur, sinon de mes moments, et il sera toujours à vous tant qu'il battra dans ma poitrine. Veuillez en recevoir ici l'assurance, mon très-aimable, très-vertueux et très-révérend père.

 

a Il avait la pensée de prendre l'habit monastique à Clairvaux. Saint Bernard Vivait encore quand Eskile mit ce projet à exécution. Voir la Vie de saint Bernard, livre IV, n. 25 et suivants, où il est aussi question de deux monastères fondés par ce prélat. Pierre de Celles le félicite, livre VII, lettre dix-septième, d'être venu à bout de son dessein. Il mourut à Clairvaux en 1182. On a une lettre de Pierre de Celles au successeur d'Eskile, nommé Absalon, c'est la vingtième du livre VIII. Voir aux notes placées à la fin du volume.

 

Haut du document

NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON

 

LETTRE CCCXC.

 

217. A son bien aimé père et seigneur Eskile..... Non-seulement archevêque de Lunden, mais encore primat de Suède, en vertu d'un décret du pape Adrien IV. Il entreprit le voyage de France et vint à Clairvaux visiter saint Bernard. Voir l'histoire de sa Vie, qui est fort intéressante, dans la Vie de saint Bernard, livre IV, chapitre IV.

Pour ce qui est du secret dessein que votre cour nourrit..... Quelr était ce dessein? Je ne saurais le dire, mais peut-être ne s'agit-il pas ici d'un autre projet que celui dont Saxon le grammairien parle en ces termes, à propos de notre Eskile, livre XIV de son Histoire du Danemark. « Vers le même temps, Eskile, fatigué par des affaires domestiques qui étaient au dessus de ses forces, songea très-sérieusement. à goûter enfin un peu de repos, et après avoir obtenu du roi de Danemark la permission de quitter le pays, il se rendit en France, au fameux monastère de Clairvaux. » Un peu plus loin, le même historien continue : « Eskile ayant demandé une audience secrète au roi: Valdemare, le pria de ne pas repousser comme intempestive l'exécution d'un projet qu'il nourrissait depuis longtemps et dont il venait l'entretenir. Encouragé par le roi à exposer sa requête, Eskile lui dit que depuis longtemps il avait formé le projet de se démettre de l'épiscopat, qui était devenu un fardeau trop pesant pour son âge. Que loin d'ambitionner de mourir dans les honneurs, il n'avait pas de plus grand désir que de passer le reste de ses jours, libre de toute charge,, après avoir échangé ses habits pontificaux contre le vêtement des simples religieux.

Quelques lignes plus loin, Saxon reprend en ces termes : « Absalon, son successeur dans l'évêché de Lunden, demanda à Eskile pourquoi,à voulait, par son éloignement, plonger son peuple dans la tristesse. Eskile lui répondit que son âge avancé et l'exil de ses neveux lui relaient désormais la patrie insupportable. Ajoutez à cela, disait-il encore, que j'ai fait voeu depuis longtemps entre les mains de Bernard, abbé de Clairvaux, de me démettre de la charge pastorale, pour mener, loin des honneurs, une vin humble et privée. » Voilà, je crois, quel était sou secret.

Or, en 1178, Eskile vint à Clairvaux, où il passa dans les exercices do la piété et de la vie religieuse les quatre dernières années de sa vie qu'il termina en 1182. Voir Saxon le grammairien, livre IV; la Vie des hommes illustres de l'ordre de Cîteaux, distinct. III, chapitre XXV; la Vie de saint Bernard, livre IV, chapitre IV; Rrantz, livre VI, Histoire du Danemark, chapitre XLI et XLII ; et Henriquez dans son Ménologe, au 10 avril. (Note de Horstius.)

Sur la retraite d'Eskile à Clairvaux, on peut lire en particulier deux lettres de Pierre de Celles, la dix-septième du livre VII, et la première du livre VIII. Le même auteur, livre I, lettre XXIII loue Eskile d'avoir tenté « de faire de son pays comme une pépinière de toute espèce d'ordres religieux, » et d'avoir en partie réussi dans son entreprise à l'aide des religieux de Cîteaux et de Prémontré qu'il introduisit dans son pays et qui devaient être peu de temps après suivis des Chartreux. (Note de Mabillon.)

 

Haut du document

 

 

LETTRE CCCXCI. A L'ABBESSE DE FAVERNAY (b).

 

Saint Bernard l'engage à réparer les brèches faites non-seulement aux murs, mais aux moeurs de la maison, et lui rappelle le soin qu'elle doit prendre de l'Hôtel-Dieu joint à son abbaye.

 

Bernard, abbé de Clairvaux, à A..., abbesse de Favernay, salut et le double mérite de la pudeur et de la grâce.

 

Ces religieux qui sont venus nie consulter sur les affaires de leur conscience m'ont fait un sensible plaisir en m'apprenant le zèle que vous déployez pour le rétablissement de la maison dont vous êtes chargée. ; n'oubliez pas cependant, je vous en prie, que vous ne devez pas apporter moins de soin à réformer les moeurs de vos religieuses qu'à réparer les murs de votre monastère. C'est également un devoir pour vous de vous occuper d'une manière toute particulière de l'Hôtel-Dieu que ces religieux gouvernent sous votre direction, et d'empêcher que vos serviteurs et vos vassaux n'en pillent ou dissipent les revenus. On m'a assuré qu'à leur suggestion perverse vous avez repris à cette maison ce que les abbesses qui vous ont précédée lui avaient donné; croyez-m'en, rétablissez les choses dans leur premier état, car vous n'êtes pas moins obligée à conserver et à maintenir, que dis-je? à multiplier même et à étendre le, le bien qu'elles ont fait, qu'à réformer les abus qu'elles ont laissé s'introduire dans votre monastère. Quant au prêtre qui habite cette maint son en conservant les biens qu'il possède en dehors, il doit opter entre ces deux partis: renoncer à ses biens, ou quitter l'Hôtel-Dieu. Je vous souhaite une bonne santé et vous assure, à cause du bien que j'ai entendu dire de vous, que vous pouvez compter sur mon amitié s'il se présente une occasion devons être utile.

 

b C'était une abbaye de Bénédictins, située dans le diocèse de Besançon ; l'archevêque Anséric en confia la réforme à des religieux de la Chaise-Dieu, en 1132, date de cette lettre. C'est maintenant une maison d'hommes de la congrégation de Saint-Victor. On voit dans la lettre cent quatre-vingt-dix-neuvième, qu'un moine de la Chaise-Dieu fut chargé de l'administration de cette abbaye, où il exerçait, sans doute du consentement de son abbé, les fonctions de supérieur, comme il était autrefois d'usage que cela se fit dans les couvents de femmes.

 

 

Haut du document

 

NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON

 

LETTRE CCCXCI.

 

218. A l'abbesse de Favernay, monastère du diocèse de Besançon dans le comté de Bourgogne. Fondée d'abord pour des religieuses de Saint-Benoît, cette abbaye, par suite des dissensions et de la vie relâchée des religieuses qui l'habitaient, passa en 1132 entre les mains des moines de la Chaise-Dieu, comme on le voit par le diplôme suivant que nous extrayons des Cartulaires de cette dernière abbaye.

« Anséric, par la grâce de Dieu archevêque de Besançon, au vénérable frère Etienne, abbé de la Chaise-Dieu, et à ses successeurs à perpétuité.

« En vertu de la charge pastorale dont nous sommes revêtu, c'est un devoir pour nous de pourvoir, avec une vigilance infatigable, à la paix des maisons religieuses et à l'accroissement de la ferveur dans les âmes qui y habitent. Ayant donc visité l'antique abbaye de Favernay, jadis célèbre par la régularité de ses habitantes, nous avons résolu d'apporter un remède à sa désolation. Nous étant donc adjoint les patrons de cette maison, savoir le consul Rainard, Guy de Joinville et Henri son frère, Thibaut de Rougemont, Humbert de Juillac et Louis son frère, nous avons trouvé cette abbaye abandonnée de ses habitantes, que les dissensions avaient contraintes de se séparer; toute vie religieuse en avait complètement disparu. Les représentations des personnes illustres que nous nous étions adjointes et les efforts de notre sollicitude pastorale eurent pour résultat, par la grâce de Dieu, de mettre fin à toutes les divisions qui désolaient cette abbaye; mais pour arriver à y rétablir la vie religieuse, les patrons susdits ont renoncé, entre les mains du comte Rainard, à toutes les coutumes justes, ou non, dont ils jouissaient dans la terre et les limites de la paroisse de Favernay, et se sont engagés à ne jamais revenir sur cette renonciation. Ils ont renoncé encore de la même manière, entre les mains du même consul, à toutes les coutumes dont ils étaient en possession de jouir dans tous les hameaux dépendant de Favernay, sous la réserve ales dettes. Richard de Montfaucon renonça également entre nos mains, sous la réserve des dettes, à tous ses droits et coutumes sur les mêmes hameaux. Rainard, qui avait reçu la renonciation des susdits patrons à tontes les coutumes dont ils jouissaient, remit entre nos mains les titres de ces renonciations, que nous avons à notre tour déposés sur l'autel de Dieu et de Marie.

« Cela fait avec la grâce de Dieu, les religieuses, le peuple et le clergé, les bénéficiaires et les patrons de l'abbaye demandèrent, tous d'une voix, que l'abbaye de Fayernay fût unie à celle de la Chaise-Dieu et qu'on prît à perpétuité dans le chapitre de cette dernière, l'abbé de Favernay pour qu'il fit fleurir dans cette maison l'ordre et la régularité de la  Chaise-Dieu. En conséquence, cédant à la volonté des fidèles, nous avons donné le gouvernement de l'abbaye de Favernay avec toute dépendances, sous la réserve des droits du souverain Pontife et de ses représentants, au monastère de la Chaise-Dieu, et le droit d'en reprendre l'abbé, s'il y a lieu, à celui de la même maison et à tous ses successeurs. En cas de faute grave et de nature à provoquer là. destitution de l'abbé, on nous exposera le cas à Nous ou à nos successeurs, et si le dit abbé résiste et ne veut point se corriger, nous donnons à celui de la Chaise-Dieu plein pouvoir de le déposer.

« Voulant due cet acte demeure à perpétuité, nous l'avons scellé de notre sceau et nous défendons sous peine d'anathème qu'on entreprenne jamais rien contre. Les témoins ont été Guillaume de Arguel, l'archidiacre Guy de Martigny, Pierre de Trèves, doyen de Saint-Etienne, Hugues, archidiacre de Favernay, l'archidiacre Gobert, Huges de Déle, Hugues, abbé de Lisieux, Guy, abbé de Charlieu, Lambert, abbé de Claire-Fontaine, l'abbé de Morimont, le chapelain Guérin, le comte Rainard, Frédéric, comte de Fontenay, Guy de Joinville et Henri son frère, Thibaut de Rougemont, Humbert de Vassy et Louis son frère.

« Donné à Besançon, dans le chapitre de Saint Jean, l'an de N.-S. J.-C. MCXXXII. Indiction XII, le 17 septembre. (Note de Mabillon.)

 

 

Haut du document

 

 

Précédente Accueil Remonter Suivante